Déjections canines, Crottes de chiens en ville

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Le problème des déjections canines n’est pas cantonné aux seules grandes villes ou à une liste restreinte de pays. Du petit village à la grande métropole, les collectivités locales et leurs administrés expriment leur ras-le-bol. Les crottes de chien y figurent en 5ème position des incivilités que les Français considèrent les plus pénibles, derrière le non-respect du code de la route, les déchets disposés de manière inadéquate, les dégradations et les violences. Partout, les autorités tentent donc de s’emparer du problème et d’enrayer ce fléau.

6000 tonnes d’excréments canins déposés chaque année sur la voie publique. La loi lui interdit les déjections canine sur les lieux publique et le non-respect de cette interdiction est passible d’une amende pour le propriétaire du chien de 35 € à 450 € selon les arrêtés pris par les communes.

Note : Il existe des sacs à déjections spécifiques pour le ramassage des crottes que l’on peut avoir aisément avec soi dans ses poches.

L’Académie française les nomme déjections canines, le langage courant les appelle crottes de chiens. Il n’empêche que la façon de les nommer n’a aucune importance pour la personne âgée qui se casse le fémur après avoir glissé sur une crotte de chiens ou l’enfant dans l’incompréhension lorsqu’il voit ses belles chaussures ou son petit vélo souillés par le caca de chien dans lequel il a pataugé. A une époque où le mot civisme, redevient à très juste titre, une valeur cardinale, il serait temps que certains propriétaires de chiens réalisent que le premier des devoirs d’un citoyen c’est de veiller à ne pas porter atteinte à la sécurité et la liberté de ceux qui utilisent les trottoirs et les voies publiques.

Comme tout être vivant, les chiens doivent pouvoir satisfaire leurs besoins naturels. Mais pas n’importe où : ni sur le tapis du salon, ni dans le bac à sable du square d’à côté. Cela s’apprend dès le « berceau » quand l’animal n’est qu’un chiot. Si le maître l’habitue à le sortir régulièrement, à se soulager là où la loi l’autorise, l’habitude sera prise. Question d’éducation de l’animal et surtout de son maître. Le chien qui fait ses besoins n’importe où révèle de manière criante le manque d’éducation de son maître.

Les crottes de chien combien !

Pour se faire une idée de l’ampleur du phénomène des crottes de chien qui s’amassent dans les lieux publics, il faut prendre en compte plusieurs données clés.

Premièrement, un chien en bonne santé et correctement nourri défèque une à deux fois par jour. Deuxièmement, même si le chiffre est difficile à estimer, il y a environ 500 millions de chiens domestiques dans le monde – dont environ 7,5 millions en France, 6 millions au Canada, 1,5 million en Belgique et 500.000 en Suisse.

Ces quelques chiffres donnent une idée de l’ampleur du phénomène à l’échelle mondiale. En effet, la quantité de déjections essaimées dans l’espace public est évidemment fonction du nombre de chiens que compte chaque pays. Ce sont donc au total plusieurs milliers de tonnes d’excréments qui, chaque année, viennent joncher les trottoirs, parcs de jeux et autres espaces publics.

Les raisons qui poussent un propriétaire à ne pas ramasser les déjections de son animal sont nombreuses : le coût psychologique et le dégoût occasionné par l’acte sont bien sûr importants, mais ne suffisent pas à expliquer un tel phénomène. Autres facteurs tels que l’absence de matériel de ramassage inadapté, le manque de sensibilisation voire la déresponsabilisation des fautifs contribuent à faire perdurer ce fléau, et ce en dépit du nombre croissant d’initiatives prises par les pouvoirs publics pour l’enrayer.

Les conséquences des crottes de chien en ville

Dans les (nombreux) pays où il est courant que certains propriétaires n’agissent pas de manière responsable, la gestion des crottes de chien occasionne un coût financier important pour les communes et mobilise des fonds publics pour des missions qui pourraient être évitées avec un minimum de civisme. Il faut en effet assurer la prévention, la mise en place d’éventuelles solutions pour dissuader l’abandon des excréments, la surveillance des maîtres ou encore le ramassage et le nettoyage en lui-même.

À titre d’illustration, la ville française de Besançon, où résident environ 115.000 personnes et 14.000 chiens, dépense chaque année près de 70.000 euros en nettoyage et en mise à disposition de sac à déjections canines. Cela représente donc 5 euros par an et par animal. Toujours en France, Toulouse mobilise quant à elle pas moins de 700.000 euros d’argent public chaque année pour ramasser les 2000 tonnes d’excréments laissés par les 53.000 chiens que compte la ville. À Genève, en Suisse, la municipalité indique quant à elle consacrer entre 13 et 19 francs suisses par an et par animal à garder ses rues impeccables.

Les déjections canines occasionnent également pour les localités des surcoûts en termes de gestion des déchets, puisqu’elles représentent une part non négligeable du contenu de nos bennes à ordures. Cela dit, contrairement aux autres, ce montant ne dépend que peu du civisme des maîtres : il est d’abord et avant tout corrélé au nombre de toutous qui y vivent.

Pour compenser les coûts que les chiens et leurs excréments représentent pour la collectivité, certains décideurs politiques nationaux ou locaux ont institué dans différents pays des taxes sur les chiens, avec selon les endroits un paiement annuel ou ponctuel (par exemple lors de l’adoption).

Les déjections canines constituent une nuisance olfactive et visuelle réelle pour les passants. En effet, même si, par chance, ils marchent dedans du pied gauche (selon une croyance française, cela signifie que l’on humilie le Mal, et c’est donc censé porter bonheur), peu apprécient ce genre de rencontres impromptues avec un excrément.

les déjections canines sentent mauvais, surtout lorsque le mercure monte et qu’elles ne sont pas encore sèches. Elles peuvent ainsi constituer une véritable nuisance olfactive ;

elles sont salissantes pour les chaussures, les vêtements (en cas d’éclaboussures) et les véhicules, à commencer par les trottinettes et les vélos. Les personnes en fauteuil roulant sont elles aussi particulièrement affectées par le problème ;
elles sont inesthétiques : elles font tache dans le décor et empêchent de profiter pleinement du paysage ;

elles impliquent de devoir faire attention où l’on pose les pieds et sont source de stress. C’est particulièrement vrai évidemment pour une personne qui doit faire très attention à son apparence, par exemple lorsqu’elle se rend à un événement professionnel ou personnel important ;

elles peuvent atteindre le vivre-ensemble. En effet, elles conduisent certains à percevoir comme indésirables et irresponsables les chiens et leurs propriétaires, voire à considérer que le meilleur ami de l’Homme n’a pas sa place en ville. Le manque de civisme de quelques-uns incite d’ailleurs certaines localités à interdire tout bonnement aux chiens d’accéder à des espaces communs, comme certains parcs ou plages. À cela s’ajoute le risque de conflits parfois houleux lorsqu’un maître ne ramasse pas l’œuvre de son compagnon.

Au-delà des nuisances et de la gêne évidente qu’elles représentent, les crottes de chien peuvent être un danger pour la santé tant des humains que des animaux.

D’une part, elles sont susceptibles de provoquer des glissades et chutes parfois graves, spécialement pour les personnes âgées. D’autre part, elles constituent un risque sanitaire réel. En effet, elles peuvent contenir des bactéries, des virus et/ou des parasites, et donc être vectrices d’agents pathogènes. Il peut s’agir par exemple des ascaris, ces vers internes du chien qui colonisent ses intestins et dont les œufs sont ensuite expulsés dans ses déjections. Invisibles à l’œil nu, ces derniers peuvent survivre de nombreux mois sur le sol dans l’attente d’un sujet sain à contaminer.

Le risque vis-à-vis des autres chiens est d’autant plus réel que les représentants de la gent canine ne trouvent pas forcément les œuvres de leurs congénères aussi repoussantes que ce n’est le cas de leur maître : ils n’hésitent pas à s’en approcher, les renifler, voire se rouler dedans ou même les manger s’ils sont atteints de coprophagie. Ils risquent alors d’être contaminés, puis de transmettre à leur tour des maladies autour d’eux.

Les déjections peuvent non seulement rendre d’autres chiens ainsi que d’autres animaux malades, mais aussi les humains dans le cas des zoonoses (maladies transmissibles de l’animal à l’Homme, ou inversement). Les enfants sont les plus exposés à ces pathologies, car ils ont tendance à porter leurs mains à la bouche, y compris après avoir touché des surfaces et matières souillées par des selles (par exemple du sable).

Les déjections canines ont des conséquences environnementales insoupçonnées de prime abord, car elles vicient l’air comme l’eau. Les bactéries et les virus contenus dans les déjections canines bouleversent la faune et la flore de l’eau et des rivages lorsqu’elles finissent dans les rivières, les ruisseaux ou la mer. Des études menées aux États-Unis ont ainsi conclu qu’au moins 20 % des bactéries trouvées dans l’eau des bassins récepteurs urbains étaient issues des crottes de chien, avec tous les risques sanitaires pour les humains et les animaux que cela implique.

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